Vu sur la Dépêche du Midi du 19 octobre 2012
Madame, Monsieur
Malgré la crise sanitaire, malgré le confinement, notre commune a continué à oeuvrer.
Même si l'accueil physique a été interrompu, le secrétariat a toujours été ouvert pour répondre à vos demandes. Je tiens à remercier Geneviève et en cela, son sens du service public.
J'ai le plaisir aussi de vous annoncer que le Plan Local d'Urbanisme, après avoir été approuvé par l'équipe municipale précédente à la veille du confinement,...
Contactez la mairie
Dimanche 19 mai 2024
Traversères
17°C forte pluie
13 km/h
70 %
Labels
|
 |
 |
 |
La presse en parle
La situation dans l'Astarac était bien troublée en plein XVIIe siècle. Rien ne manque; vol, pillage, empoisonnement, viol, meurtre...
A Montastruc (d'Astarac), la haine est grande entre Roger de Durfort, marquis de Castelbajac et ses parents, soutenus, aidés par les habitants de cette communauté. A la suite d'un arrêt en faveur du sieur de Castelbajac (en 1668), ses ennemis voulurent se venger d'une manière des plus efficaces;
"la malice, la cruauté et la rage des habitants (de Montastruc) n'en demeura pas là; car ils se portèrent à cette extrémité que de vouloir faire périr par le poison toute la famille du Sieur de Castelbajac. On se servit pour cela du ministère de la nommée Françoise Maille, qui était la nourrice d'un petit enfant de Sieur de Castelbajac qui mit du poison dans le buillon avec tant de cruauté que la femme du Sieur de Castelbajac en mouru. Quatre enfants mâles, une fille et Saint-Aunis, qui était un gentilhomme-domestique dudit Sieur de Castelbajac. La mort de ces sept personnes ne fut pas le seul effet de ce poison, car le Sieur de Castelbajac, les quatre enfants mâles qui lui restent et la Saint-Aunis qui était la demoiselle suivante de sa femme, Sagasan et quelques autres en restèrent longtemps malades."
La paix n'est pas pour demain...